Voilà mon, Ange, il faut si peu
Pour que ma vie soit transformée.
Ton regard est comme un aveu
Ton sourire est comme un baiser

Que tu déposes sur ma vie
Sur mon coeur et sur ma raison
Loin du tumulte tu me conduis
Et nous vibrons au diapason

De nos désirs, de nos passions.
J'affectionne tout ce que tu aimes,
Tu aimes mes exaltations
Nos emportements sont les mêmes

Si nos chemins se sont croisés
Depuis peu, ils gagnent en promesses
De folies, de complicités
En nuits d'amour enchanteresses.

Les clairs de lune et les aubades
Que d'autres ont pu te gratifier
Je les réduis en pâles foucades.
T'offre des ciels de volupté.

Octobre 2007